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LA FOLIE DU MONDE
Les gens sont ils devenus fou
Une femme torture son mari
L’humiliant, le rouant de coups
Ruinant l’amour d’une vie
A cent lieux de ce drame la
Une mère, un peu dérangée
D’un mauvais geste commettra
L’infanticide qui va la mener
En prison ou à l’internat.
REFRAIN
Voyez-vous une once d’espoir?
Avez-vous la fin de l’histoire
Qui chasserait nos idées noires
Et protégerait nos mémoires.
Que faisons-nous à nos enfants
Quel avenir leur laisserons-nous
Pourrons-nous arrêter à temps
La violence et les mauvais coups
Puis ce sont des enfants congelés
Innocents et à peine au monde
Que l’on va bientôt retrouver
À Paris ou au bout du monde.
Des gamins juste délangés
Jouent les durs au sein des cités
Et se tuent croyant gouverner
Un milieu qui s’est liquéfié.
REFRAIN
Voyez-vous une once d’espoir?
Avez-vous la fin de l’histoire
Qui chasserait nos idées noires
Et protégerait nos mémoires.
Que faisons-nous à nos enfants
Quel avenir leur laisserons-nous
Pourrons-nous arrêter à temps
La violence et les mauvais coups
Dans une cave une femme est brulée
Car elle refusait de l’aimer.
Bien plus loin une autre est fouettée
Attendant d’être lapidée.
Je ne sais si demain sera
Le progrès ou bien le trépas
Mais je sais que l’on se battra
Pour qu’on ne puisse en rester là.
REFRAIN
Voyez-vous une once d’espoir?
Avez-vous la fin de l’histoire
Qui chasserait nos idées noires
Et protégerait nos mémoires.
Que faisons-nous à nos enfants
Quel avenir leur laisserons-nous
Pourrons-nous arrêter à temps
La violence et les mauvais coups
Aimez vous disait le prophète
Prenez soin de votre bonheur
Je vous dis, modeste poète
Essayez d’ouvrir votre cœur
Pour donner un peu de chaleur
A tous ceux qui en ont besoin
Repoussons au loin le malheur
C’est facile quant on le veux bien.
REFRAIN
Voyez-vous une once d’espoir?
Avez-vous la fin de l’histoire
Qui chasserait nos idées noires
Et protégerait nos mémoires.
Que faisons-nous à nos enfants
Quel avenir leur laisserons-nous
VOULONS-nous arrêter à temps
La violence et les mauvais coups
Guy CAILLEAU 27 08 2010
AVE MARIA
Ils l’on mis sur la croix
Pour condamner sa foi
Ils ont chanté leur joie
Au moment du trépas
Ils avaient vu en lui
Plus que leur ennemi
Lui ont ôté la vie
Dans un profond mépris
AVE MARIA
AU NOM D’ALLAH
Ils ont tué ton fils
Oui mais la mort du Christ
Ne leur a rien appris.
La terre est le théâtre
De guerres et de massacres
Ni trêve, ni entracte,
Quant l’un va, l’autre craque.
Au nom de tous les Dieux
Pour cacher leurs enjeux
Ils invoquent les cieux
Pour combattre encore mieux
AVE MARIA
AU NOM D’ALLAH
Ils ont tué ton fils
Oui mais la mort du Christ
Ne leur a rien appris.
A BEYROUT ou DAMAS
On sacrifie en masse
Hommes, femmes et enfants,
Sans aucuns sentiments
Et quant on intervient
Qu’on se décide enfin
A battre le terrain
Il n’en ressort rien
AVE MARIA
AU NOM D’ALLAH
Ils ont tué ton fils
Oui mais la mort du Christ
Ne leur a rien appris.
Les grands se réunissent
Pour éditer la liste
Des états qui sévissent
A renfort de polices,
D’armées et de milices
Craignant bien qu’ils ne puissent
Et se rendent complices
En devenant autistes
AVE MARIA
AU NOM D’ALLAH
Ils ont tué ton fils
Oui mais la mort du Christ
Ne leur a rien appris.
Alors Vierge Marie
A genoux je supplie
De préserver ces vies
D’arrêter ce gâchis
Pour que tous les enfants
D ‘ISRAEL, du LIBAN,
De tous les continents
Puissent dormir en rêvant
AVE MARIA
Juste une fois
Pour un jour, pour une heure
Efface les malheurs
Pour créer le bonheur.
Le Val 29 septembre 2012
Chanson, paroles Guy CAILLEAU
Musique Dominique GALLET-CAILLEAU
LA TERRE SE VENGE
1
La terre est fatiguée
Et la mer énervée
Du plus loin de l’Asie
Déclenche un tsunami
REFRAIN
La terre se venge
Nous l’avons trop meurtrie
Et nous dérange
Dans nos minables vies
2
La terre est colérique
De l’Europe à l’Afrique
Ses volcans se réveillent
Et les vents s’entremêlent
REFRAIN
3
La terre est affamée
D’être bien trop polluée
L’océan se tari
De grandes pêcheries
REFRAIN
4
Déjà par le passé
La terre s’était vengée
L’eau l’avait recouverte
Pour nous mettre en alerte
REFRAIN
5
Mais nous n’avons pas su
Préparer nos saluts
Continuant de gâcher
Ce qu’elle nous a donnée
REFRAIN
6
Alors pour nous punir
La terre va se détruire
Rien ne peu l’empêcher
E se faire exploser
REFRAIN (BIS)
Guy CAILLEAU 2010
LA CRUCIFIEE
Chanson
REFRAIN
Et si Jésus avait été une femme
L’aurait on mise sur la croix
L’aurait on clouée corps et âme
Pour la faire agoniser là?
1
Exposée aux regards immondes
Des soldats et du peuple en cris
Venu de cent lieux à la ronde
Pour assister à l’agonie
Crucifiée, toute dévêtue
Ecartée sur la croix de bois
Aurait on cachée sa vertu
Pour apaiser son désarroi
REFRAIN
2
Je suis sur qu’on l’aurait laissée
Plantée là, près de l’olivier
Aux regards des autres exposée
Sachant qu’elle en serait humiliée
Sous la terre on l’aurait couchée
Sans linceul, sans drap protecteur
Comme un sac qu’on vient de jeter
Espérant chasser le malheur.
REFRAIN
3
Et à l’aube du troisième jour
Pas un seul ne serait venu
Lui prodiguer un peu d’amour
Accompagner son âme aux nues
Pas un mot n’aurait dans l’histoire
Fait état de ce mauvais drame
Qui voulez vous bien qui pu croire
Que le Christ ai été une femme.
REFRAIN
Guy CAILLEAU 19 août 2010
Guy CAILLEAU MAI 2010
D’UN CHEMIN A L’AUTRE
Je remonte la douce cascade
Qui remonte aux creux de tes reins
Jusqu’aux seins c’est de l’escalade
Mais tu m’as montrée le chemin
Refrain
J’arpente le chemin de ton corps
Pour aller à celui de ton cœur
Je m’attarde sur le mont VENUS
Caressant le buisson frisé
Et repart toujours allant plus
Bien conscient de te posséder
Refrain
J’arpente le chemin de ton corps
Pour aller à celui de ton cœur
De tes seins j’aperçois ta bouche
De tes lèvres je vois le dessin
Je remonte jusqu’à ce que je touche
Tes beaux yeux au regard câlin
Refrain
J’arpente le chemin de ton corps
Pour aller à celui de ton cœur
Je t’embrasse tel un empereur
Conquérant de terre inconnue
Et je plante avec bonheur
L’étendard fouillant ta vertu
Refrain
J’arpente le chemin de ton corps
Pour aller à celui de ton cœur
Guy CAILLEAU 20 JUILLET 2010
BALLADE CHARNELLE
1
Je parcours lentement les chemins de ton corps
Savourant calmement ce fabuleux trésor
Je suis ce vagabond, éternel découvreur
Qui de bosses en wallons découvre avec bonheur
Tous les trésors cachés que tu as dévoilée
Mes yeux émerveillés n’en sont pas rassasiés
REFRAIN
Je t’écris ce poème
Qui parcoure ton corps
Pour te dire que je t’aime
Et t’aimerai encore.
2
Qu’il est doux d’effleurer tes mamelons laiteux
De parfois m’arrêter dans ce qui fait leur creux
Que j’aime profiter du sillon qui conduit
Sans me précipiter à ta source de vie
Quant mes mains assouvies sur le dos te caressent
Et que pleine d’envie se posent sur tes fesses
REFRAIN
Je t’écris ce poème
Qui parcoure ton corps
Pour te dire que je t’aime
Et t’aimerai encore.
3
Et quant mes doigts te touchent, caressant ton visage
S’attardent sur ta bouche, dans un heureux présage
Tu es femme il est vrai, tu es ma douce amie
Celle pour qui je voudrai créer un paradis
Tu es l’amour fait vie, ma passion de toujours
Tu es celle que la vie m’a donnée pour toujours
REFRAIN
Je t’écris ce poème
Qui parcoure ton corps
Pour te dire que je t’aime
Et t’aimerai encore.
DEUX FEMMES
1
Une femme alanguie,
Allongée sur le lit
Ses longs cheveux défaits
A corps déjà prêt
refrain
Elle s’aiment, c’est ainsi
Comme vous, comme moi
C’est pourquoi je vous dis
Laissez-les vivre ça.
2
Elle attend sa compagne
De violence et de calme
Tout son être est tendu
Vers celle qui apparut
refrain
Elle s’aiment, c’est ainsi
Comme vous, comme moi
C’est pourquoi je vous dis
Laissez-les vivre ça.
3
Le contraste est violent
L’une est brune et racée
L’autre est évidement
La blonde platinée
refrain
Elle s’aiment, c’est ainsi
Comme vous, comme moi
C’est pourquoi je vous dis
Laissez-les vivre ça.
4
Bientôt leurs corps se nouent
Leurs bouches se mélangent
Des seins jusqu’aux genoux
Leurs caresses s’échangent
refrain
Elle s’aiment, c’est ainsi
Comme vous, comme moi
C’est pourquoi je vous dis
Laissez-les vivre ça.
5
Elles sont ne vous déplaise
Amoureuses et tant pis
Pour ceux qui de fadaises
Les couvrent de moqueries
refrain
Elle s’aiment, c’est ainsi
Comme vous, comme moi
C’est pourquoi je vous dis
Laissez-les vivre ça.
6
Elles vivent leur amour
Sans s’occuper des gens
Qui critiquent toujours
Et qui vont salissant
refrain
Elle s’aiment, c’est ainsi
Comme vous, comme moi
C’est pourquoi je vous dis
Laissez-les vivre ça.
7
Pourquoi voir du vice
Dans ce beau tableau là
Que peint avec délice
L’artiste qui est là
refrain
Elle s’aiment, je vous dis
Comme vous, comme moi
Elles s’aiment, c’est ainsi
Laissons-les vivre ça.
2 mai 2010
PRENOMS LE TEMPS
Une maman, c’est beau comme une étoile
Qui étincelle et que l’on peut toucher
Pour un enfant, qu’il soit bien ou très mal
C’est son sourire qui vient le faire rêver.
REFRAIN
Prenons le temps
D’élever nos enfants
Que chaque instant
Soit leur moment présent
Une maman, c’est comme un paysage
Où un enfant vient parfois s’égarer
Quand par ses yeux il perçoit son visage
Qui sur son lit, le soir vient se pencher
REFRAIN
Prenons le temps
D’élever nos enfants
Que chaque instant
Soit leur moment présent
Mais un enfant, petite chose frêle
Sera un jour, c’est à n’en point douter
Un très bel homme ou bien femme rebelle
Qui comme toi voudra tout réformer
REFRAIN
Prenons le temps
D’élever nos enfants
Que chaque instant
Soit leur moment présent
Mais prenons garde, qu’une grande vitesse
Quand nous voudrons, dans la vie les lâcher
Ne soit un frein et que par maladresse
Nous n’ayons pas bien su les préparer
REFRAIN
Prenons le temps
D’élever nos enfants
Que chaque instant
Soit leur moment présent
Mais quelque soit sa carrière future
Qu’il soit curé, balayeur, PDG
Fille ou garçon, et pourvu que sa dure
Pour nous sera, toujours notre bébé.
J’ai écris cette chanson après avoir écouté Céline DION sur A2 au cours de l’émission « c’est votre vie » le 16 novembre 2013 qui disait que le temps passait trop vite et qu’il nous fallait prendre le temps d’élever nos enfants.
J’ai emprunté à Amel BENT la très belle phrase qu’elle a adressée à son idole : « Vous êtes une étoile qu’on peut toucher ».
LE VAL le 17 Nov 2013
LE VOILE DE LA TERREUR
1
Cachée sous un long voile
On ne voit que ses yeux
Dans une immense toile
Et qui fait des envieux
Une femme passait
Toute de noire vêtue
Femme qui inquiétait
En traversant la rue
Refrain
Restez des femmes libres
Dignes d’un Etat de droit
Retirez, soyez vives
Cette horrible BURKA
2
Qui est-elle sous son voile
Inaccessible aux yeux
Des passants qui détaillent
D’un air soupçonneux
Un frère ou un mari
Impose, au nom d’Alla Battez
A la femme qui subie
Des ordres renégats
Refrain
Restez des femmes libres
Dignes d’un Etat de droit
Retirez, soyez vives
Cette horrible BURKA
3
Vous serez de la sorte
Libre de votre pensée
Chassez donc ces cloportes
Qui vous ont humiliées
Le voile qui tout à l’heure
Vous mettrai hors du temps
Sera votre bonheur
Si vous l’ôtez à temps
Refrain
Restez des femmes libres
Dignes d’un Etat de droit
Retirez, soyez vives
Cette horrible BURKA
4
Point besoin d’une loi
Votée au parlement
Pour cultiver la foi
Quel que soit le croyant
Avec un peu d’amour
Avec quelques présents
Vous pouvez pour toujours
Vivre parmi ces gens
Refrain
Restez des femmes libres
Dignes d’un Etat de droit
Retirez, soyez vives
Cette horrible BURKA
5
Alors levez la tête
Battez vous bravement
Car jamais le prophète
N’en a demandé tant
Et vous serez des femmes
Des sœurs, des mamans
Qui transmettent la flamme
A vos petits enfants
Refrain
Restez des femmes libres
Dignes d’un Etat de droit
Retirez, soyez vives
Cette horrible BURKA
6
Dites leur, tête haute
Avec humilité
Que l’on peut être apôtre
Sans être résignées.
Dites leur que demain
Au lieu de vous cacher
C’est en joignant les mains
Que la vie va changer
Refrain
Soyez des femmes libres
Dignes et fière à la fois
Pour que vous puissiez vivre
Hors de votre BURKA
BIS
Soyez des femmes libres
Dignes comme il se doit
Retirez, soyez ivres
Ce qui vous cache là
9 MAI 2010 ET 30 OCTOBRE 2013
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